Ils s'appelaient Jean, Léon, Pierre, Eugène, René...Ils étaient cultivateurs, charrons, instituteurs ou encore curé. Leur vie n'était pas toujours facile. Un jour, appelés au front, les plus jaunes ont quitté leur village, Maltat, Cressy, Issy-L'Evêque, Grury... pour partier vers l'inconnu et défendre leur patrie. Ceux qui sont restés ont participé à leur façon à l'effort de guerre. Ils ont subi les pénuries, l'angoisse de la séparation, la douleur du deuil.